Dimanche 19 septembre 7 19 /09 /Sep 20:44

gay-gang-bang-party-02.jpg Point de vue pipe, les années de lycée ont été assez mornes. Comme Philippe, la majorité des mecs adultes préféraient ne pas prendre de risque en ayant des relations avec un mineur, et au lycée, c'était pour tout dire impossible, de peur que ça se sache. Déjà que ça n'est pas facile aujourd'hui, c'était quasiment impossible d'assumer son homosexualité dans un lycée de province au début des années 1990. Je restais donc sur ma faim, et m'apaisait en mattant des pornos sur Canal ou sur le satellite, en m'imaginant à la place des actrices qui suçaient les queues énormes et appétissantes. Parfois, je trouvais un vieux pervers tout excité à l'idée de se faire tailler une pipe par un petit jeune. Mais ils bandaient mous (on avait pas encore inventé le viagra non plus à l'époque) et avaient la trouille du quand dira-t-on. Bref, c'était le désert.

Je suis arrivé comme ça jusqu'en terminale. C'est à l'époque que je suis devenu bi en fait, car au lycée, je sortais aussi avec des filles, et finalement j'y ai pris goût. En mars, mes copains de l'époque m'ont invité à une soirée bowling à Bordeaux. Pour eux, c'était une soirée importante, un de leurs anciens copains de 3ème, qui s'était engagé dans l'armée à 16 ans, était en permission à Bordeaux et devait nous rejoindre. Je ne le connaissais pas, puisque je n'étais arrivé qu'en seconde, mais l'idée d'une soirée à Bordeaux était sympa, et à la date où on arrivait, ce serait sans doute ma dernière sortie avant le bac.

La soirée a été sympa, et assez arrosée. Après le bowling, nous sommes allés finir dans un bar de la Victoire. Vers 2 heures du matin, nous déambulions fin bourrés dans les rues de Bordeaux pour retourner à la voiture, tout en nous demandant si c'était vraiment prudent de reprendre la route maintenant. Le copain qui conduisait venait juste d'avoir le permis et tenait à le garder, et nous aussi, car il était le seul à savoir conduire. Nous étions garés sur les quais, donc nous sommes redescendus par le quartier Saint-Michel, jusqu'à la grosse cloche de Saint-James. Sous le grand porche qui soutient la cloche, nous nous sommes arrêtés pour pisser. La nuit était calme, les rues étaient désertes. Même la circulation sur les quais semblaient s'être arrêtée. Le fameux copain, Jean-Paul, était le plus bourré de tous. Pour se soulager, il a ouvert grand son pantalon, baissé son slip et complètement sorti sa queue. Puis quand il a eu fini, il s'est tourné vers moi sans se rhabiller, et m'a pris dans ses bras en gueulant : "T'es sympa, toi, j'te connaissais pas, mais t'es sympa ! J'suis bien content de t'avoir rencontré ! ouais, vraiment t'es sympa ! et en plus t'as une bonne bouche de suceuse... tu vas me tailler une pipe, hein, tu vas me sucer si t'es sympa..." J'avais pas mal bu moi aussi, et pas mal d'inhibition avait sauté. J'avais vu pendant qu'il pissait qu'il avait une super belle queue, longue, bien épaisse. Le genre de bite qui me faisait fantasmer quand les actrices pornos les pompaient goulument. J'ai complètement oublié les autres, et je suis tombé à genoux devant lui, en avalant goulument sa queue encore flasque, mais qui n'a pas tardé à durcir entre mes lèvres. Je le pompais furieusement, pendant qu'il m'appuyait sur la tête pour m'obliger à l'avaler d'avantage. Je bavais, j'avais des hauts-le-coeur à chaque fois que son gros gland venait buter au fond de ma bouche, mais je continuais à le sucer comme si ma vie en dépendait. Quand j'ai entendu Jean-Bapt, un autre pote, lancer à la cantonnade : "Alors, on oublie les copains !" Je me suis rendu compte que jusque là, j'avais gardé les yeux fermés. En les rouvrant, j'ai vu que lui aussi avait sorti sa bite, et il s'astiquait au-dessus de ma joue droite, visiblement excité par le spectacle. Je savais pour l'avoir vue dans les vestiaires du lycée que Jean-Bapt avait une grosse bite, mais bandée, elle était encore plus impressionnante, encore plus épaisse que celle de Jean-Paul, que j'ai momentanément abandonnée pour enfourner la sienne. Il y avait une odeur de pisse, de sueur de mâle qui me tournait la tête. J'allais d'une bite à l'autre, en avalant le plus possible tout en les branlant. Jean-Paul a dit : "Sacrée suceuse, votre pote ! Tu crois qu'il peut prendre deux queues en même temps ?" Et joignant le geste à la parole, il m'a présenté sa bite alors que j'avais déjà celle de Jean-Bapt en bouche. J'ai ouvert la bouche autant que je pouvais pour prendre les deux gros glands entre mes lèvres, et quand les deux tiges se sont enfoncées en même temps, j'ai senti mon sexe bondir dans mon caleçon. Marc, Bastien, Christophe et Bertrand étaient restés à regarder, l'air de se demander si c'était vrai ou si ils avaient vraiment trop bu. C'est l'un d'eux, Chris je crois, qui a fait remarquer qu'on devrait bouger, que c'était pas prudent de rester là. Jean-Paul nous a alors proposé de le suivre à son hôtel, près de la gare. Tout le monde a remballé son matos, et on est reparti. Le gardien de nuit a été assez surpris quand il nous a vu débarquer à 7 pour une chambre d'une personne, mais il était tard et je crois qu'il n'avait pas envie d'avoir d'emmerdes, alors il nous a laissé monter. Aussitôt dans la chambre, Jean-Paul et Jean-Bapt se sont déshabillé, et j'en ai fait autant. Chris et Bastien ont sorti leur bite et les deux autres sont allés s'asseoir sur le lit. J'ai recommencé à sucer Jean-Paul à genoux, puis Jean-Bapt est à nouveau venu nous rejoindre, bientôt suivi par Bastien, qui devait être puceau, car il a juté presque tout de suite. C'est Chris qui a pris sa place, et sans être aussi impressionnant que les autres, il était plutôt bien membré aussi. J'avais trois belles queues pour moi tout seul, et j'allais de l'une à l'autre, suçant l'une pendant que je branlais les deux autres. Bastien n'a pas tardé à rebander, puis les deux derniers se sont décidés. J'ai comprise pourquoi ils avaient hésité : ça n'était pas tant la honte de faire des trucs de pédé que leurs dimensions beaucoup moins avantageuses que celles des autres. Mais je les ai sucé aussi. J'étais agenouillé au milieu d'un cercle de six bites tendues qui me remplissaient la bouche et je les aspiraient, les léchaient, les pompaient et les branlaient avec un plaisir que trahissait mon sexe bandé. A tour de rôle, ils me mettaient deux queues dans la bouche et j'en redemandais. Puis Jean-Paul m'a relevé et m'a emmené vers le lit. "Mets toi à quatre pattes, petites putes, je vais te défoncer le cul !" Je protestais, lui expliquer que je n'avais jamais essayé. "Il faut un début à tout !", rétorqua-t-il en me jetant en travers du lit. "Allez, détends-toi, ça passera-mieux." Et tout en me disant ça, il a commencé à glisser sa langue entre mes fesses, cherchant mon anus, puis s'y attardant. Chacun de ses coups de langue me faisait frémir, je relevais les fesses pour mieux sentir ses caresses. Il s'interrompit un instant : "Vous faites quoi, les lopettes, continuez à lui remplir la bouche, et toi Bertrand, avec tes grosses lèvres, va lui sucer la pine." En quelques instants, je me retrouvais à quatre pattes, la langue de Jean-Paul m'astiquant l'anus pendant que la bouche de Bertrand allait et venait sur mon gland et que je gobais goulument la bite de Jean-Bapt. Jean-Paul bavait abondamment sur ma rondelle, puis il y a glissé un doigt, puis un autre, et un troisième. C'est là que j'ai commencé à avoir mal, mais ça n'était rien. Il a retiré ses doigts et a à nouveau craché entre mes fesses, puis il a dit à Jean-Bapt : "Tiens bien sa bouche sur ta bite, il va morfler." Et sans autre forme de procès, il a enfoncé sa grosse bite dans mon cul, au moment où d'une main ferme, Jean-Bapt me plaquait la tête contre son ventre, m'enfonçant sa queue au fond de la bouche. J'ai eu l'impression qu'on me déchirait le ventre, j'avais tellement mal que j'aurais hurlé, mais j'étouffais, la bite dans la bouche. Des larmes jaillirent au coin de mes paupières, je poussais un mugissement étouffé, il venait de pénétrer entièrement d'un coup. Mais le pire, ça a été quand il a commencé à bouger. Lui et Jean-Bapt me bourraient la bouche et le cul au même rythme, m'empêchant de hurler, puis Jean-Bapt n'a plus tenu, et il m'a craché sa purée dans la bouche. Chris l'a remplacé, puis Bastien, puis Marc, et tous ont juté à tour de rôle, pendant que la douleur s'apaisait et laissait la place à une sensation de plaisir renforcée par les lèvres de Bertrand autour de mon gland. Nous avons fini en 69, en jouissant dans la bouche l'un de l'autre, au moment où Jean-Paul se répandait dans mon cul. Puis nous nous sommes tous endormis tels quels. Le lendemain matin, nous nous sommes habillés en vitesse et nous avons rejoint la voilture. Nous n'avons jamais reparlé de cette soirée.

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Dimanche 19 septembre 7 19 /09 /Sep 19:19

3670345 J'avais 15 ans et comme tous les mecs de mon âge, je découvrais ma sexualité, rien de très original, jusque là, sauf que moi je n'étais pas particulièrement en avance. En fait, je connaissais surtout le sujet par ouï-dire et par ce qu'en disait les copains au collège. Je n'avais jamais vu un film porno, et c'est à peine si j'avais déjà eu entre les mains un magazine pour adulte. Il faut dire que c'étaient les années 80, et dans la petite ville de Dordogne où je vivais alors, on ne recevait même pas encore Canal +. Je me rappelle de la perplexité qui m'avais envahi la première fois que dans une plaisanterie, j'avais entendu parler de "tailler une pipe" : l'idée qu'il pouvait être agréable de glisser son sexe dans une bouche ne m'avait jusque là encore jamais effleuré. Je me rappelle aussi de l'excitation malsaine que j'avais ressenti pour la première fois en entendant un de mes camarades à une fille avec laquelle il se disputait : "Si je te mets ma bite dans la bouche, tu t'étouffes avec, salope." Tout cela me trottait dans la tête, j'y pensais en me masturbant, le soir, dans mon lit. C'est à cette époque que j'ai aussi commencé à me bricoler des espèces de godemichets artisanaux avec des gros stylos, des saucissons, ou toute sorte d'objets oblongs, et à les glisser entre mes lèvres en ressentant une excitation qui me faisait dresser l'entrejambe. C'est en 3ème qu'ont eu lieu deux événements qui m'ont définitivement converti à la fellation : une après-midi, j'étais allé jouer au tennis avec un copain. En rentrant, je traversai le parc municipal et passai près de la salle des fêtes. C'est là que j'ai entendu des murmures qui ont attiré mon attention. Je me suis discrètement glissé derrière la salle, là d'où me semblait venir le bruit. Caché derrière le coin du mur, j'ai découvert un couple de jeunes qui devaient avoir 2 ou 3 ans de plus que moi. Le mec était allongé sur la pelouse, la braguette ouverte et la bite à l'aire, et sa copine était en train de s'activer avec ses lèvres et sa langue pendant qu'il poussait des petits râles de plaisir en lui passant la main dans les cheveux. Je restai là, fasciné par cette scène inédite, la queue soudain à l'étroit dans mon mini-short de tennis. A un instant, j'ai du trop m'avancer, car la fille a levé la tête vers moi et m'a lancé : "Faut pas t'gêner ! Tu veux venir le sucer à ma place, p'tit con !" J'ai pris mes jambes à mon coup, trop gêné pour répondre, en gardant entre mes lèvres serrées le "oui" que j'aurais rêvé de lui répondre. Quelques temps plus tard, après le cours de sport, nous nous sommes retrouvés comme d'habitude sous la douche. J'étais complexé car j'étais en retard sur ma croissance, et j'avais le sexe encore petit par rapport à mes camarades de classe. L'un d'eux en particulier, Cyril, avait été doté par la nature d'un instrument impressionnant, à côté duquel nous avions tous l'air ridicule. Comme en plus il était redoublant, il était physiquement et sexuellement très en avance sur nous tous. Il aimait particulièrement, après le sport, se branler sous les douches pour exhiber devant nous sa longue tige épaisse tout en se vantant de ses exploits amoureux. Ce jour là, c'est moi qui me suis retrouvé à côté de lui, comme d'habitude, il se paluchait vigoureusement, en nous racontant se jour là comment sa copine du moment l'avait sucé sous la douche. "Nooon !" s'exclamaient tous les autres, mais il a insisté puis, m'attrapant brutalement par les épaules; il m'a agenouillé devant lui en disant : "Je l'ai choppée comme ça, puis j'lui ai dit à genoux et tu suces, et quand elle a râlé, j'en ai profité pour lui enfiler ma bite dans la gueule !" Et joignant le geste à la parole, il m'a attrapé la tête en plaquant sa grosse bide bandée contre mes mes lèvres. Je gardai la bouche fermée, et pourtant, je n'avais qu'une envie, ouvrir les lèvres pour accueillir la tige de chair puissante que je sentais palpiter contre ma peau. Ca a duré quelques secondes pendant lesquelles j'étais tiraillé entre la tentation de céder à mon envie et la honte de passer pour un pédé devant tous les mecs de la classe. Puis il m'a relâché, je me suis rincé en vitesse et j'ai courru me rhabiller.

L'été suivant, mes parents ont déménagé en Gironde, dans une ville plus grande. Fort de mon âge, j'ai obtenu, sous réserve de prévenir et de ne pas revenir après une certaine heure, d'aller me promener pour découvrir la ville et essayer de me faire des connaissances avant la rentrée. Il y avait aussi, ô merveille, un cinéma. J'avais soudain accès à un monde que j'avais jusque là ignoré, arpentait seul des rues inconnues, discutait avec des jeunes de mon âge à la piscine, dans le parc municipal, m'arrêtait à la terrasse des cafés où je gaspillait mon argent de poche en diabolos-menthe et en Perrier-citron. C'est comme ça que j'ai rencontré Philippe. Il avait 31 ans, ce qui me semblait très vieux à l'époque, et était cuisinier. La première fois qu'il m'a abordé en terrasse, j'étais flatté qu'un homme de cet âge m'adresse la parole. Au début, je l'énervais même, parce que je n'arrivais pas à le tutoyer. On est resté deux ou trois fois comme ça, à discuter. Malgré ce qu'aurait pu laisser croire sa profession, il était très cultivé, et comme j'étais plutôt un "intello", ça me plaisait de parler avec lui. Puis un jour, il m'a invité à venir finir l'après-midi chez lui. J'ai hésité, après tout je ne le connaissais pas plus que ça, mais il avait l'air sympa, avec sa bouille ronde, son crâne qui se dégarnissait un peu et son sourire franc. Alors je l'ai suivi. Il habitait un petit appartement dans le centre-ville, décoré avec beaucoup de goût, des gravures et des photos noir et blanc sur le mur. Moi qui n'avait pas vu grand chose jusque là, j'avais l'impression du plus grand chic. Un détail m'a vite troublé pourtant : les photos, les dessins, les statuettes, tout représentait des hommes dénudés. Il a du remarquer ma gêne car il m'a tout de suite dit qu'il était "pédé". Ca m'a surpris car c'était la première fois que j'entendais quelqu'un utiliser comme un mot habituel ce qui m'avait toujours semblé être une injure. En même temps, je me suis soudain senti tout émoustillé. S'il m'avait invité chez lui, c'était que je lui plaisais, j'allais enfin pouvoir réaliser mon fantasme ! Oui, mais si il voulais m'enculer, qu'est-ce que je lui dirais ? J'en avais pas plus envie que ça. Je balançais entre espoir et appréhension, mais en fait, j'ai vite été douché. Il n'a absolument rien changé à son attitude, il a continué à me parler sans essayer de me toucher ni même de m'approcher de moi. Nous avons encore passé plus d'une heure à discuter, puis il a fait remarquer qu'il faisait soif et qu'il prendrait bien un verre de vin. Et il m'a demandé si j'en voulais. J'avais déjà bu des demi-verres de vin avec mes parents dans les grandes occasions et j'ai voulu faire le grand, alors j'ai accepté. Mais il n'avait plus de bouteille à l'appartement, il fallait en descendre à la cave. Il m'a proposé de l'accompagner et j'ai accepté. Nous sommes descendu dans une sorte de caveau frais, un peu humide, dont les murs de calcaire nus suintaient une odeur de salpêtre. Il a enclenché la minuterie et m'a conduit le long d'un couloir jusqu'à un box aux murs couverts de casiers remplis de bouteille. Il m'a invité à rentré. "Belle cave, n'est-ce pas, j'ai des prix au boulot." A part sa voix, on entendait que le tic-tac régulier de la minuterie. Sans bien me rendre compte de ce que je faisais, je suis venu me coller contre lui. Il me dominait d'une bonne tête. J'ai levé le visage en souriant, et il a murmuré : "Non, il ne faut pas, tu es trop jeune...", puis ses lèvres sont venus froler les miennes. J'ai frémis, puis lancé mes bras autour de ses épaules, refusant de détacher mes lèvres des siennes. Il a encore murmuré "non", et puis sa langue s'est glissée entre mes lèvres. Soudain, un grand "clac", et le noir. La minuterie venait de s'arrêter. Nous étions seuls dans le noir, bouche contre bouche, et contre mon ventre, je sentais sa queue durcie par le désir à travers la toile fine de son bermuda. Je n'ai pas hésité, j'ai fait glisser mes mains vers sa braguette. Maladroitement, je l'ai ouverte et j'en ai extirpé son sexe. J'ai du lui faire un peu mal, car il a gémit tout en m'embrassant. Puis mes lèvres ont quitté les siennes, je suis tombé à genoux devant lui et j'ai commencé à faire glisser ma langue sur son gland. C'était chaud, doux, vivant, à la fois dur et souple. Ma main  a empoigné sa verge. "Non, non, tu es trop petit, arrête..." mes lèvres se sont refermées autour de son gland. "Oh, s'est trop bon..." J'ai continué à le branler tout en faisant aller et venir l'extrêmité de son sexe entre mes lèvres. Je me rends compte avec le recul que j'étais bien maladroit. Mais ma jeunesse devait compenser, car je n'ai pas tardé à sentir un liquide chaud et onctueux couler sur ma langue. C'était salé, un peu amer, mais pas mauvais. J'ai avalé son sperme, puis embrassé doucement son sexe. Il a poussé un grand soupir, puis il a dit : "C'était très bon, mais il ne faut plus recommencer, tu comprends, tu es trop jeune, je ne peux pas assumer ça." Sans un mot de plus, il a attrapé une bouteille, puis nous sommes remontés. Il m'a servi un verre, mais j'ai bien senti qu'il était très gêné. Alors j'ai bu vite et je lui a dit que je devais partir, que sinon mes parents allaient s'inquiéter. "Ah oui, tes parents..." a-t-il ajouté l'air las. "Tu vois, ça n'est vraiment pas raisonnable." Quand je suis parti, il m'a fait la bise. C'est la dernière fois que je l'ai vu. Je comprends aujourd'hui à quel point la situation devait être gênante pour lui, les risques que je lui ai fait prendre alors qu'il ne m'avait forcé à rien. Et je m'en excuse, car c'est à lui que je dois mon premier grand moment de plaisir sensuel.

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Dimanche 19 septembre 7 19 /09 /Sep 19:01

lips J'aime :

- sucer des bites biens dures

- être à genoux devant le mec que je suce

- sentir la queue glisser jusqu'au fond de ma gorge

- qu'on me traite un peu rudement, genre "suce salope !" en m'appuyant sur la tête.

- les mecs sévères, poilus, virils, les blacks et les reubeus

- les grosses bites

- découvrir le goût du sperme à chaque fois que je suce une nouvelle queue

- me faire baiser la bouche, que le mec m'oblige à l'avaler à fond

- avoir deux bites dans la bouche en même temps

- me faire enculer pendant que je taille une pipe

- me faire pincer et tirer les tétons pendant que je pompe

- qu'on me gicle sur le visage ou dans la bouche

- lécher les pieds ou les chaussures du mec avant de le sucer

- mettre un doigt dans le cul du mec que je suce

- que le mec que je viens de sucer me pisse dans la bouche après avoir éjaculé

- être traité comme un esclave suceur

 

J'aime pas :

- les mecs qui n'arrivent pas à bander, qui restent mous

- les mecs qui me laissent faire tout le boulot

- les mecs sales, sans hygiène, qui puent

- tous ceux qui branchent sodo direct

- lécher le cul

- le fist-fucking

- sucer avec capote (mais obligatoire pour la sodo)

- les mecs malsains, pervers

- le SM hard



Par suceur de bites - Publié dans : MOI
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Dimanche 19 septembre 7 19 /09 /Sep 18:04

... pour répondre à quelques questions que vous pourriez vous poser.

Mon âge ? ... je vais avoir 36 ans

Ma première pipe ? ... j'avais 15 ans ... 21 ans d'expérience donc.

Combien de bites j'ai sucé dans ma vie ? ... Je ne les ai pas toutes comptées, mais à vue d'oeil, plus de 3000.

Est-ce que j'ai déjà sucé plusieurs bites à la fois ? ... oui, bien sûr !

Combien ? ... 6 au maximum, j'aurais bien fait mieux, mais l'occasion ne s'est pas présentée.

Bi ou gay ? ... bi.

Un fanstasme à réaliser ? ... sucer un mec avec sa femme.

Les endroits les plus insolites ou j'ai déjà sucé ? ... sur un banc dans un parc public, dans un train, dans un bar bondé, dans un amphithéâtre à la fac.

Gorge profonde ? ... ouiiiiiii

Mon meilleur souvenir de pipe ? ... J'avais 31 ans. Un black sublime avec une queue énorme. C'est la seule fois où je n'ai pas réussi à tout avaler, même en la prenant au fond de la gorge.

Mon pire souvenir de pipe ? ... J'avais 23 ans. Une espèce de psychopathe complètement taré et sale avec ça, plus moyen de m'en débarasser.

J'avale ? ... ouiiiiii

J'aime les mots crus ? ... ouiiiii

J'aime aussi me faire sucer ? .... ouiiiii ! hmmmmm, un bon 69...

Le plus gros dard que j'ai avalé ? ... le black sus-cité, il devait bien faire 30cm.

Et le plus petit ? ... la seule fois de ma vie où j'ai vu un micropénis ! il devait faire à peine 3 cm, on aurait dit un sexe d'enfant. J'ai trouvé ça malsain.

Est-ce que je me suis déjà fait payé pour une pipe ? ... parfois, quand j'étais jeune et que le mec était vraiment trop moche. Ca faisait un peu d'argent de poche...

Et la sodo dans tous ça ? ... j'ai rien contre, si le mec m'excite et qu'il sait s'y prendre.

Le SM ? ... En soft, oui. J'adore les mecs dominateurs qui m'oblige à leur lécher les pieds avant de les sucer.


lips.jpg

Par suceur de bites - Publié dans : MOI
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Dimanche 19 septembre 7 19 /09 /Sep 17:44

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