Dimanche 19 septembre 7 19 /09 /Sep 19:19

3670345 J'avais 15 ans et comme tous les mecs de mon âge, je découvrais ma sexualité, rien de très original, jusque là, sauf que moi je n'étais pas particulièrement en avance. En fait, je connaissais surtout le sujet par ouï-dire et par ce qu'en disait les copains au collège. Je n'avais jamais vu un film porno, et c'est à peine si j'avais déjà eu entre les mains un magazine pour adulte. Il faut dire que c'étaient les années 80, et dans la petite ville de Dordogne où je vivais alors, on ne recevait même pas encore Canal +. Je me rappelle de la perplexité qui m'avais envahi la première fois que dans une plaisanterie, j'avais entendu parler de "tailler une pipe" : l'idée qu'il pouvait être agréable de glisser son sexe dans une bouche ne m'avait jusque là encore jamais effleuré. Je me rappelle aussi de l'excitation malsaine que j'avais ressenti pour la première fois en entendant un de mes camarades à une fille avec laquelle il se disputait : "Si je te mets ma bite dans la bouche, tu t'étouffes avec, salope." Tout cela me trottait dans la tête, j'y pensais en me masturbant, le soir, dans mon lit. C'est à cette époque que j'ai aussi commencé à me bricoler des espèces de godemichets artisanaux avec des gros stylos, des saucissons, ou toute sorte d'objets oblongs, et à les glisser entre mes lèvres en ressentant une excitation qui me faisait dresser l'entrejambe. C'est en 3ème qu'ont eu lieu deux événements qui m'ont définitivement converti à la fellation : une après-midi, j'étais allé jouer au tennis avec un copain. En rentrant, je traversai le parc municipal et passai près de la salle des fêtes. C'est là que j'ai entendu des murmures qui ont attiré mon attention. Je me suis discrètement glissé derrière la salle, là d'où me semblait venir le bruit. Caché derrière le coin du mur, j'ai découvert un couple de jeunes qui devaient avoir 2 ou 3 ans de plus que moi. Le mec était allongé sur la pelouse, la braguette ouverte et la bite à l'aire, et sa copine était en train de s'activer avec ses lèvres et sa langue pendant qu'il poussait des petits râles de plaisir en lui passant la main dans les cheveux. Je restai là, fasciné par cette scène inédite, la queue soudain à l'étroit dans mon mini-short de tennis. A un instant, j'ai du trop m'avancer, car la fille a levé la tête vers moi et m'a lancé : "Faut pas t'gêner ! Tu veux venir le sucer à ma place, p'tit con !" J'ai pris mes jambes à mon coup, trop gêné pour répondre, en gardant entre mes lèvres serrées le "oui" que j'aurais rêvé de lui répondre. Quelques temps plus tard, après le cours de sport, nous nous sommes retrouvés comme d'habitude sous la douche. J'étais complexé car j'étais en retard sur ma croissance, et j'avais le sexe encore petit par rapport à mes camarades de classe. L'un d'eux en particulier, Cyril, avait été doté par la nature d'un instrument impressionnant, à côté duquel nous avions tous l'air ridicule. Comme en plus il était redoublant, il était physiquement et sexuellement très en avance sur nous tous. Il aimait particulièrement, après le sport, se branler sous les douches pour exhiber devant nous sa longue tige épaisse tout en se vantant de ses exploits amoureux. Ce jour là, c'est moi qui me suis retrouvé à côté de lui, comme d'habitude, il se paluchait vigoureusement, en nous racontant se jour là comment sa copine du moment l'avait sucé sous la douche. "Nooon !" s'exclamaient tous les autres, mais il a insisté puis, m'attrapant brutalement par les épaules; il m'a agenouillé devant lui en disant : "Je l'ai choppée comme ça, puis j'lui ai dit à genoux et tu suces, et quand elle a râlé, j'en ai profité pour lui enfiler ma bite dans la gueule !" Et joignant le geste à la parole, il m'a attrapé la tête en plaquant sa grosse bide bandée contre mes mes lèvres. Je gardai la bouche fermée, et pourtant, je n'avais qu'une envie, ouvrir les lèvres pour accueillir la tige de chair puissante que je sentais palpiter contre ma peau. Ca a duré quelques secondes pendant lesquelles j'étais tiraillé entre la tentation de céder à mon envie et la honte de passer pour un pédé devant tous les mecs de la classe. Puis il m'a relâché, je me suis rincé en vitesse et j'ai courru me rhabiller.

L'été suivant, mes parents ont déménagé en Gironde, dans une ville plus grande. Fort de mon âge, j'ai obtenu, sous réserve de prévenir et de ne pas revenir après une certaine heure, d'aller me promener pour découvrir la ville et essayer de me faire des connaissances avant la rentrée. Il y avait aussi, ô merveille, un cinéma. J'avais soudain accès à un monde que j'avais jusque là ignoré, arpentait seul des rues inconnues, discutait avec des jeunes de mon âge à la piscine, dans le parc municipal, m'arrêtait à la terrasse des cafés où je gaspillait mon argent de poche en diabolos-menthe et en Perrier-citron. C'est comme ça que j'ai rencontré Philippe. Il avait 31 ans, ce qui me semblait très vieux à l'époque, et était cuisinier. La première fois qu'il m'a abordé en terrasse, j'étais flatté qu'un homme de cet âge m'adresse la parole. Au début, je l'énervais même, parce que je n'arrivais pas à le tutoyer. On est resté deux ou trois fois comme ça, à discuter. Malgré ce qu'aurait pu laisser croire sa profession, il était très cultivé, et comme j'étais plutôt un "intello", ça me plaisait de parler avec lui. Puis un jour, il m'a invité à venir finir l'après-midi chez lui. J'ai hésité, après tout je ne le connaissais pas plus que ça, mais il avait l'air sympa, avec sa bouille ronde, son crâne qui se dégarnissait un peu et son sourire franc. Alors je l'ai suivi. Il habitait un petit appartement dans le centre-ville, décoré avec beaucoup de goût, des gravures et des photos noir et blanc sur le mur. Moi qui n'avait pas vu grand chose jusque là, j'avais l'impression du plus grand chic. Un détail m'a vite troublé pourtant : les photos, les dessins, les statuettes, tout représentait des hommes dénudés. Il a du remarquer ma gêne car il m'a tout de suite dit qu'il était "pédé". Ca m'a surpris car c'était la première fois que j'entendais quelqu'un utiliser comme un mot habituel ce qui m'avait toujours semblé être une injure. En même temps, je me suis soudain senti tout émoustillé. S'il m'avait invité chez lui, c'était que je lui plaisais, j'allais enfin pouvoir réaliser mon fantasme ! Oui, mais si il voulais m'enculer, qu'est-ce que je lui dirais ? J'en avais pas plus envie que ça. Je balançais entre espoir et appréhension, mais en fait, j'ai vite été douché. Il n'a absolument rien changé à son attitude, il a continué à me parler sans essayer de me toucher ni même de m'approcher de moi. Nous avons encore passé plus d'une heure à discuter, puis il a fait remarquer qu'il faisait soif et qu'il prendrait bien un verre de vin. Et il m'a demandé si j'en voulais. J'avais déjà bu des demi-verres de vin avec mes parents dans les grandes occasions et j'ai voulu faire le grand, alors j'ai accepté. Mais il n'avait plus de bouteille à l'appartement, il fallait en descendre à la cave. Il m'a proposé de l'accompagner et j'ai accepté. Nous sommes descendu dans une sorte de caveau frais, un peu humide, dont les murs de calcaire nus suintaient une odeur de salpêtre. Il a enclenché la minuterie et m'a conduit le long d'un couloir jusqu'à un box aux murs couverts de casiers remplis de bouteille. Il m'a invité à rentré. "Belle cave, n'est-ce pas, j'ai des prix au boulot." A part sa voix, on entendait que le tic-tac régulier de la minuterie. Sans bien me rendre compte de ce que je faisais, je suis venu me coller contre lui. Il me dominait d'une bonne tête. J'ai levé le visage en souriant, et il a murmuré : "Non, il ne faut pas, tu es trop jeune...", puis ses lèvres sont venus froler les miennes. J'ai frémis, puis lancé mes bras autour de ses épaules, refusant de détacher mes lèvres des siennes. Il a encore murmuré "non", et puis sa langue s'est glissée entre mes lèvres. Soudain, un grand "clac", et le noir. La minuterie venait de s'arrêter. Nous étions seuls dans le noir, bouche contre bouche, et contre mon ventre, je sentais sa queue durcie par le désir à travers la toile fine de son bermuda. Je n'ai pas hésité, j'ai fait glisser mes mains vers sa braguette. Maladroitement, je l'ai ouverte et j'en ai extirpé son sexe. J'ai du lui faire un peu mal, car il a gémit tout en m'embrassant. Puis mes lèvres ont quitté les siennes, je suis tombé à genoux devant lui et j'ai commencé à faire glisser ma langue sur son gland. C'était chaud, doux, vivant, à la fois dur et souple. Ma main  a empoigné sa verge. "Non, non, tu es trop petit, arrête..." mes lèvres se sont refermées autour de son gland. "Oh, s'est trop bon..." J'ai continué à le branler tout en faisant aller et venir l'extrêmité de son sexe entre mes lèvres. Je me rends compte avec le recul que j'étais bien maladroit. Mais ma jeunesse devait compenser, car je n'ai pas tardé à sentir un liquide chaud et onctueux couler sur ma langue. C'était salé, un peu amer, mais pas mauvais. J'ai avalé son sperme, puis embrassé doucement son sexe. Il a poussé un grand soupir, puis il a dit : "C'était très bon, mais il ne faut plus recommencer, tu comprends, tu es trop jeune, je ne peux pas assumer ça." Sans un mot de plus, il a attrapé une bouteille, puis nous sommes remontés. Il m'a servi un verre, mais j'ai bien senti qu'il était très gêné. Alors j'ai bu vite et je lui a dit que je devais partir, que sinon mes parents allaient s'inquiéter. "Ah oui, tes parents..." a-t-il ajouté l'air las. "Tu vois, ça n'est vraiment pas raisonnable." Quand je suis parti, il m'a fait la bise. C'est la dernière fois que je l'ai vu. Je comprends aujourd'hui à quel point la situation devait être gênante pour lui, les risques que je lui ai fait prendre alors qu'il ne m'avait forcé à rien. Et je m'en excuse, car c'est à lui que je dois mon premier grand moment de plaisir sensuel.

Par suceur de bites - Publié dans : Histoires
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Commentaires

c'est magnifiquement raconter . On se souvient toujours de la premiere bite que l'on a sucer , elle était trop bonne .
J'adore sucer et etre sucer en meme temps .
commentaire n° :1 posté par : didou le: 27/06/2013 à 07h31

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